Les Picasso y los Simios ont ouvert le bal. Groupe ô combien important pour Dominique puisque selon ses dires il était vert de jalousie chaque fois qu’il les voyait en concert fin 80’s – début des 90’s. Il est resté ami avec le chanteur-guitariste Eric Deleporte, et le clavier du groupe n’est autre que Luc Rambo (remember « Remué »). Le trio joue une pop délicate et sous tension, assez inventive. Bonne découverte. Dominique les rejoint sur deux titres, puis c’est Deleporte qui l’accompagne pour le début de son – court – set.
L’occasion d’entendre des vieilleries – puisque c’est le thème de la soirée – rarement jouées, dans l’ordre : « Les Habitudes se Perdent », « Février », « Chanson de la Ville Silencieuse », « Le Gros Boris ». . Rangs clairsemés, ambiance dissipée – rien à voir avec celle d’il y a deux mois - et familiale dans la salle : les ex-groupies des années 80 sont venus avec leurs mômes, certains –grands et petits - semblent découvrir monsieur A, comme ces 3 adolescentes qui déhanchaient grave sur un morceau en anglais que je n’avais jamais entendu. Dominique termine par… accrochez-vous les amis : « Only You » des Platters



Et j’ajouterais ni de clavicule puisque c’est ce qui nous a causé l’absence des Mansfield TYA. Dommage, j’aurais bien voulu les voir jouer ensemble, mais ce n’est sans doute que partie remise.