Pour ceux qui ont aimé la chanson en hommage à Marina Tsvetaeva, ceux qui aiment son œuvre, ou pour les deux, Telerama (n°3036) nous permet d'en savoir un peu plus sur son parcours, ses parutions, avec un beau portrait, et une superbe photo. Son histoire n'est pas des plus enviable.
la conclusion de l'article de Gilles Heuré :
Marina Tsvetaeva voulait qu'on écrivît sur sa tombe : "Sténographe de la Vie. Vie avec Majuscule, impérativement." Cette poétesse, plutôt sorbier ou vigne sauvage que fleurs en bouquet, a rempli la mission qu'elle assignait à tous les poètes : "rebaptisez le monde."