Ani DiFranco est au Trabendo (Cité de la Musique à Paris) le mercredi 23 mars 2005 ! C'est trop d'la bal, baby !
Elle sort son album annuel, "Knuckle Down", le 31 janvier 2005 en France.
C'est la première fois qu'elle ne produit pas elle même son propre disque, d'après ce que j'ai compris.
http://www.righteousbabe.com/ani/knuckledown/index.asp
Ani DiFranco, Overhead, Fulbert, Dominique A (?!)... Le mois de mars s'annonce bien sympa, niveau concert. Manque plus que revoir Laetitia Sheriff...
Ani DiFranco
Depuis le temps que je vous dis que c'est très bien, Ani FiFranco => Dans le bain 02 
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ouveuxtuquejeregarde
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- Enregistré le : dim. 19 sept. 2004, 17:40
Allons, Monsieur A...
Humm... Voilà du Dominique comme on l'aime : après des petites confidences sur son orgueil blessé par deux voix dissonantes, un avis péremptoire et plus que tranchant sur un concert d'Ani Difranco...
Il est vrai qu'il faut plus de quatre ou cinq mesures d'un concert pour apprécier le travail de "l'alternative chanteuse" . Peut-être faut-il écouter quelques albums studios comme l'excellent "To the teeth" ou le très inspiré "Revelling/Reknowing". Peut-être aussi se pencher sur les paroles d'un engagement politique radical sur certains albums et d'un intisme introspectif sur d'autres. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il faut connaitre sa bio pour apprendre qu'elle a produit tous ses albums et qu'elle n'a perdu en rien toute sa liberté après plus de quinze disques. Certes, ca peut faire pâlir d'envie les artistes fervents d'"underground" ou de rage ceux qui voudraient s'en défaire aujourd'hui...Bref, cinq mesures ne suffisent donc pas.
J'étais au concert au trabendo. Cinq ou sizième fois que je voyais la "folk'n'rolleuse". Peut-être pas le meilleur que j'ai vu. Des lumières plutôt conventionnelles, en effet. Mais une rare et précieuse simplicité sur scène et des tonnes de naturel. Des choses qu'on a tendance à ne plus beaucoup trouver dans un concert. Une artiste qui prend plaisir, chaleureuse. Et qui, franchement, joue de la guitare comme très peu dans ce genre... Une guitare donc, puis une contrebasse et enfin un violon (le fameux Andrew Bird)... Il y avait à n'en pas douter quelque chose à saisir ce soir là. Peut-être n'en était-il pas de même à Bruxelles?
Quoiqu'il en soit, quatre ou cinq mesures ne suffisent pas pour pour attraper la chose en vol. Faudrait demander à Andrew Bird combien de mesures il a écouté avant d'accepter de participer au dernier album et à toute la tournée d'Ani Difranco.
Il est vrai qu'il faut plus de quatre ou cinq mesures d'un concert pour apprécier le travail de "l'alternative chanteuse" . Peut-être faut-il écouter quelques albums studios comme l'excellent "To the teeth" ou le très inspiré "Revelling/Reknowing". Peut-être aussi se pencher sur les paroles d'un engagement politique radical sur certains albums et d'un intisme introspectif sur d'autres. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il faut connaitre sa bio pour apprendre qu'elle a produit tous ses albums et qu'elle n'a perdu en rien toute sa liberté après plus de quinze disques. Certes, ca peut faire pâlir d'envie les artistes fervents d'"underground" ou de rage ceux qui voudraient s'en défaire aujourd'hui...Bref, cinq mesures ne suffisent donc pas.
J'étais au concert au trabendo. Cinq ou sizième fois que je voyais la "folk'n'rolleuse". Peut-être pas le meilleur que j'ai vu. Des lumières plutôt conventionnelles, en effet. Mais une rare et précieuse simplicité sur scène et des tonnes de naturel. Des choses qu'on a tendance à ne plus beaucoup trouver dans un concert. Une artiste qui prend plaisir, chaleureuse. Et qui, franchement, joue de la guitare comme très peu dans ce genre... Une guitare donc, puis une contrebasse et enfin un violon (le fameux Andrew Bird)... Il y avait à n'en pas douter quelque chose à saisir ce soir là. Peut-être n'en était-il pas de même à Bruxelles?
Quoiqu'il en soit, quatre ou cinq mesures ne suffisent pas pour pour attraper la chose en vol. Faudrait demander à Andrew Bird combien de mesures il a écouté avant d'accepter de participer au dernier album et à toute la tournée d'Ani Difranco.
Moi, je donnerais un avis un peu différent sur Ani DiFranco, parce que j'avoue que je ne me suis pas particulièrement attaché à ses textes et à sa bio. C'est son album "Evolve" qui m'a fait tout plein de frisson, c'est plus épidermique qu'autre chose, mon attachement pour elle.
Je ne l'ai jamais vu en concert et je ne suis pas allé au Trabendo, pour diverses raisons - excès de concerts notamment - mais j'ai vu qu'elle repassait en juin.
Et c'est une admirable guitariste aussi, il faut le dire. C'est tellement rare une femme qui fasse autre chose que de la figuration avec une guitare.
Et juste pour te contredire, elle n'a pas produit son tout dernier album...
Je ne l'ai jamais vu en concert et je ne suis pas allé au Trabendo, pour diverses raisons - excès de concerts notamment - mais j'ai vu qu'elle repassait en juin.
Et c'est une admirable guitariste aussi, il faut le dire. C'est tellement rare une femme qui fasse autre chose que de la figuration avec une guitare.
Et juste pour te contredire, elle n'a pas produit son tout dernier album...