merci pour ce concert à l'olympic : excellenttissime
salle receptive, et bonne ambiance
moi j'enleverais encore un cuivre et ça serait parfait :-)
ps: un petit "hiver" comme je l'aime : encore merci
Sieur A à Nantes hier soir
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- CCV Forumeur
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- Enregistré le : dim. 24 nov. 2002, 19:28
- Localisation : Nantes
Bon sang, je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit, je suis encore dans l’énergie de ce concert très intense donné hier soir par Dominique A et ses « camarades » -comme il se plaît à le souligner. Sur le moment, j’ai eu l’impression que c’était un peu comme les retrouvailles entre deux amants qui ont chacun des choses à se faire pardonner… Dans un Pil’ (l’hebdo culturel hebdomadaire nantais que tout le monde a entre les mains) de mars dernier, Dominique confiait qu’à Nantes ça s’était mal passé la dernière fois, qu’il trouvait le public froid et exigeant. C’est un peu vrai parfois il faut bien le reconnaître.
Peut-être a-t-il regretté d’avoir prononcé ces paroles, ou qu’au contraire ça lui a permis de se débloquer, peut-être aussi que les Nantais ont été touchés par sa franchise, toujours est-il que dès le début, j’ai senti Dominique A surmotivé, électrique comme jamais – Monsieur « 100000 volts » c’est bien lui ou je me trompe ?-, déconneur avec un public tout excité de retrouver son amant perdu, public « chaud comme une baraque à frites », comme le dit « un type vêtu d’un slip blanc et d’un sous-pull en licra rose »
. Dominique A semblait surpris de cet accueil, ça nous a valu quelque chambre : « C’est le public nantais ? Mais on dirait Lille, ou Marseille » et des remerciements sincères à la fin.
Alors Dominique, j’ai aussi envie de te dire merci pour ta générosité, « merci pour la joie ». Tes concerts sont toujours différents, parfois on en retient plein d’émotions, et parfois c’est l’énergie qui prime. Hier c’était plutôt ça, un soupçon en moins d’introspection –pas de « Rue des Marais », mais beaucoup de morceaux forts, ah cette vieille maîtresse délaissée, tu l’as prise avec volupté. Et moi j’ai la patate pour une semaine au moins, alors merci pour ça !
Merci aussi à tes musiciens, mention spéciale à Olivier Mellano, aussi discret qu’essentiel.
Sinon, histoire de faire mon rabat-joie nantais
, je suis un peu d’accord avec ksong.l , 2 cuivres c’était pas toujours bienvenu, et sur un « Antonia » plus volcanique que jamais – si j’osais je parlerais de montée de sève, d’…- je pensais que le « premier cuivre » allait se lâcher un peu… et pis rien. Formule trio sur TSCA superbe, une idée pour la prochaine tournée ? J’ai adoré les relectures des morceaux plus anciens – « La Mémoire Neuve » tout particulièrement - , « Où sont les Lions », bonne surprise de le retrouver ici, moi qui écoute rarement TSCA et en tout cas pas ce titre là… magnifique « Rouvrir », et un « Music-Hall » à la fois plus « abordable » et beaucoup plus émouvant que sur disque.
Voilà pour mes impressions, merci encore et longue vie à toi, A.
Au menu, y’avait :
- Revoir les Choses ( ?)
- Antaimoro
- La Relève
- Rouvrir (« Putain mais c’est un triomphe ! »)
- Dans un Camion
- Bowling
- Adieu, Alma
- Où sont les Lions
- Exit (« Ce morceau a été écrit en 98, ici même, la batterie était dans les chiottes »)
- La Mémoire Neuve
- Retour au quartier Lointain («Taniguchi, Taniguchi »)
- Music-Hall
- La Pleureuse
- L’Horizon (« Allez, on va taquiner la baleiner, vous savez ce que ça fait de taquiner la baleine ? »)
- TSCA
- Le Dernier Couché
- L’Écho
- Antonia
- Encore
- Le Courage des Oiseaux (« We’re nighclubbing, nightclubbing… »)
- Empty White Blues
- Le Commerce de l’Eau
Une dernière chose qui ne concerne qu’une personne, laquelle ne lira probablement pas ces lignes, mais sait-on jamais… Tu étais assise à côté de moi en haut, et tu es partie avant la fin, entraînée par une fille qui voulait partir et qui m’a semblé parler espagnol. Et bien sache que je m’en veux de ne pas t’avoir proposé d’aller boire un verre. Au cas où, mon mail : lololive@free.fr
Peut-être a-t-il regretté d’avoir prononcé ces paroles, ou qu’au contraire ça lui a permis de se débloquer, peut-être aussi que les Nantais ont été touchés par sa franchise, toujours est-il que dès le début, j’ai senti Dominique A surmotivé, électrique comme jamais – Monsieur « 100000 volts » c’est bien lui ou je me trompe ?-, déconneur avec un public tout excité de retrouver son amant perdu, public « chaud comme une baraque à frites », comme le dit « un type vêtu d’un slip blanc et d’un sous-pull en licra rose »

Alors Dominique, j’ai aussi envie de te dire merci pour ta générosité, « merci pour la joie ». Tes concerts sont toujours différents, parfois on en retient plein d’émotions, et parfois c’est l’énergie qui prime. Hier c’était plutôt ça, un soupçon en moins d’introspection –pas de « Rue des Marais », mais beaucoup de morceaux forts, ah cette vieille maîtresse délaissée, tu l’as prise avec volupté. Et moi j’ai la patate pour une semaine au moins, alors merci pour ça !


Sinon, histoire de faire mon rabat-joie nantais

Voilà pour mes impressions, merci encore et longue vie à toi, A.
Au menu, y’avait :
- Revoir les Choses ( ?)
- Antaimoro
- La Relève
- Rouvrir (« Putain mais c’est un triomphe ! »)
- Dans un Camion
- Bowling
- Adieu, Alma
- Où sont les Lions
- Exit (« Ce morceau a été écrit en 98, ici même, la batterie était dans les chiottes »)
- La Mémoire Neuve
- Retour au quartier Lointain («Taniguchi, Taniguchi »)
- Music-Hall
- La Pleureuse
- L’Horizon (« Allez, on va taquiner la baleiner, vous savez ce que ça fait de taquiner la baleine ? »)
- TSCA
- Le Dernier Couché
- L’Écho
- Antonia
- Encore
- Le Courage des Oiseaux (« We’re nighclubbing, nightclubbing… »)
- Empty White Blues
- Le Commerce de l’Eau
Une dernière chose qui ne concerne qu’une personne, laquelle ne lira probablement pas ces lignes, mais sait-on jamais… Tu étais assise à côté de moi en haut, et tu es partie avant la fin, entraînée par une fille qui voulait partir et qui m’a semblé parler espagnol. Et bien sache que je m’en veux de ne pas t’avoir proposé d’aller boire un verre. Au cas où, mon mail : lololive@free.fr
Je crois, fermement, que le monde vient à notre secours