
L'affiche comprend aussi Ghinzu, Julie Doiron (en bout de course après un voyage marathon depuis le Canada), et un certain King Khan. Shannon Wright suit le très court passage de Julie Doiron (25 min) sur la scène.
J'ignore si les gens sont venues pour elle. L'ambiance mèle tous les genres possibles dans les clubs toulousains (les rugbymen sont au bar et causent super fort, les cons).
Le set est très classique (Portray, Less than a moment, Hinterland...) et très brut. 2 - 3 p'tites chansons à l'orgue et pi tout le reste à la guitare, accompagnée par un batteur, plutot sérieux dans le genre. Au plus fort du concert, les plombs sautent. La salle est plongée dans le soir complet. Le batteur garde le rythme de la chanson en cours durant une bonne minute. Le public siffle, super excité. Shannon tourne en rond. La lumière revient et elle reprend le morceau là où elle l'avait laissé. Le public exulte. Elle ferra encore 2 chansons, et puis c'est tout. Pas de rappel. A prendre ou à laisser. Pas croyable. les amis qui m'accompagnent ne la connaissant pas, pensent avoir vu un ovni. "Alors vous avez aimé ?
- ben..."
Bon ok. J'oublie qu'elle peut surprendre les gens en se roulant par terre, ou en gobant le micro. Reste qq photos... et le souvenir de l'énergie qu'elle avait encore une fois.





